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Mercredi 18 avril 2018 3 18 /04 /Avr /2018 17:22

Jeux de Soumission (Chapitre 6) par Ji Seon


Le lendemain matin, je me réveillai les bras au dessus de moi, attachés à la tête de lit.

Une fois que mes yeux furent habitués à la lumière du jour, je vis Thomas, entièrement nu, déjà bien excité, qui s'amusait à faire tourner dans les airs des jeux de cordes.

 

                    Salut, toi ! Me dit-il, souriant en s'approchant de moi.

                    Salut toi! Lui répondis-je. Bien motivé dès le matin dit donc !

                    Et comment ! Je voulais te faire prendre le petit dèj' au lit, mais en te regardant, à moitié découverte et si … vulnérable, j'ai eue envie de toi !

                    Ah oui, je suis donc vulnérable ?! Même les mains attachées, je peux te donner du fil à retordre ! Lui dis-je en le défiant du regard.

                    C'est ce qu'on va voir, dit il en prenant une de mes cuisses.

 

Il y fit un tour de corde, me la fit la plier en l'écartant légèrement, pour venir fixer l'extrémité de la corde à la tête de lit. Il prit une seconde corde, qu'il fixa à ma cheville et l'attacha au pied du lit et fit de même avec l'autre jambe.

J'étais une fois de plus, totalement maîtrisée, Ne pouvant ni les baisser ni les remonter. Il avait accès à toutes les parties de mon corps. Allongée sur le dos, les jambes relevées et écartées ainsi que les bras attachés au dessus de moi.

 

                    Alors, on fait moins la maline comme ça ?!

                    Je te l'accorde, tu t'en sors bien. Mais c'est aussi parce que je t'ai laissé faire. Lui dis-je en lui faisant un clin d’œil.

 

Il monta sur le lit et me chevaucha. Son sexe était déjà fièrement dressé, il caressa ma poitrine, serrant mes seins fermement et taquina mes tétons, les maltraitant en les pinçant, afin de me faire gémir. Il se rapprocha, mit sa main sur le sommet de ma tête pour me guider vers son membre tressautant de désir. Je passai un petit coup de langue sur son gland avant de prendre ce bout de chair érigée en pleine bouche. Ma position n'étant pas favorable à faire des vas-et-viens convenables, il se mit donc à onduler du bassin. Lentement, en prenant son temps, ne me forçant pas à avaler plus que ce dont je ne pouvais.

 

Au bout d'un certain temps, il se retira et vint se placer sur mon ventre. Il posa son membre durcit au creux de ma poitrine et se servit de mes seins pour l'y enfermer. Le fait que ma poitrine soit de nature très généreuse, elle le recouvrait complètement. Il reprit à nouveau ses mouvements de vas-et-viens, les sensations devaient être bonnes, il laissa sa tête basculer en arrière et je l'entendais gémir par moments. Le voir prendre du plaisir de la sorte, m'excitait grandement, je sentais mon intimité palpiter, le désir était tel que j'y ressentis une petite douleur absolument exquise.

 

Il accélérait le mouvement, mais ce n'était pas suffisant, il lui en fallait plus. Il descendit donc du lit, pour venir se placer entre mes jambes. Rien qu'à l'idée qu'il s'occupe enfin de cet endroit, je sentis la cyprine couler le long de mes petites lèvres. Il caressa le dessous de mes cuisses, laissant une traînée ardente au passage de ses doigts sur ma peau. Il se baissa et vint titiller mon clitoris de sa langue. A son contact mes muscles se contractèrent et je laissai échapper un long gémissement de contentement. Il inséra deux doigts dans mon vagin et me caressa de l'intérieur, jusqu'à ce que le besoin de le sentir en moi soit si intense que je pensai être sur le point d'exploser.

Thomas s'en doutait, mes gémissements étaient plus poussés, et lui aussi ne devait attendre que ça.

Je n'étais pas bâillonnée cette fois-ci, c'est pourquoi il se redressa, plaça son membre à l'entrée de mon sexe et s'arrêta.

 

                    Demande le moi ! Dit-il en me transperçant de son regard intense.

                    Prend moi ! Oh oui, s'il te plais, prends moi !

 

Sans plus attendre, il s'inséra en moi, aussi profondément qu'il put. Dieu que c'était bon, je le lui fit savoir en poussant un râle de satisfaction. Il ne tarda pas à accélérer la cadence, sa peau claquait contre la mienne, se servant de mes hanches pour augmenter la puissance de ses coups de reins.

En peu de temps, nous jouîmes quasiment simultanément sous son rythme effréné.

 

Ce fut bon, trop bon. J'aime de plus en plus quand il m'attache de la sorte, cette sensation de ne plus rien contrôler, de lui appartenir complètement, de ne vivre que pour lui et l'instant présent, c'est juste parfait.

 

Il me détacha, nous n'échangions aucunes paroles, seulement des regards et des petits sourires. Il n'était plus nécessaire de se demander si ça avait été bon, c'était une évidence.

Le reste de la matinée se passa tranquillement, le midi nous mangeâmes ensemble et une fois de plus, il était temps pour moi de rentrer chez moi.

 

                    On se voit la semaine prochaine ! Me dit-il m'embrassant sur les lèvres.

                    Oui, comme d'habitude, lui répondis-je en faisant un clin d'oeil.

                    Tu vas me manquer, ajouta t-il, comme tu me manque à chaque fois un peu plus lorsque tu t'en vas …

 

Je n'arrivais pas à déchiffrer l'expression de son visage à cet instant, et comment est ce que je devais interpréter ce qu'il venait de dire ?

 

Mais c'est ainsi que nous nous quittions une fois de plus.

 

Pendant la semaine, ma mère m'avait lourdement questionnée sur mes escapades répétées, et j'ai fini par lui dire que j'avais rencontré quelqu'un. Bien évidemment je lui ai fait la version édulcorée, il était hors de question que je lui raconte ce que nous vivions réellement.

Elle est heureuse pour moi, et me souhaite le meilleur.

Je suis un peu moins optimiste qu'elle, ne sachant pas concrètement où Thomas et moi allons.

Et évidemment, elle souhaite le rencontrer ! Je ne sais pas non plus si ça arrivera.

 

Le week-end approchait à grand pas, Thomas me faisait comme à son habitude part de sa hâte de pouvoir sentir mon parfum et ma peau contre la sienne.

Il ne pouvait s'empêcher de m'envoyer des petits messages parfois mignons, parfois coquins pour « patienter ». Évidemment, je rentrais dans son jeu, et bien souvent, nous finissions par échanger des photos, elles aussi coquines et par prendre du plaisir mutuellement via notre téléphone ou Skype.

C'était quelque chose de tout nouveau pour moi, encore une fois, mais qui s'avérait être assez excitant.

 

Le jeudi soir, Thomas m'appelle :

 

                    Salut ma belle ! Comment tu vas ?

                    Salut Thomas, bah pas terrible, je crois que je couve un truc … Je ne me sens pas très bien depuis ce midi.

                    Oh mince, du coup, tu le sens comment pour ce week-end ?

                    Je sais pas trop encore, je vais pas traîner ce soir, prendre un cachet, une bonne nuit de sommeil et demain ça devrait aller mieux.

                    Ok, tu me tiens au courant ?! Prends soin de toi !

 

La nuit s'est avérée affreuse, très peu dormis et de la fièvre. Le lendemain, docteur oblige, et comme je le pensais, bonjour la grippe !

Donc week-end annulé, Thomas était déçu, tout autant que moi.

Je restais patraque pendant pratiquement une semaine.

Mais nouvelle déception pour nous deux, je n'étais pas disponible le week-end qui suivait.

Je pouvais sentir son impatience, ou alors était-ce un manque ? Car c'est aussi ce que je ressentais.

C'est dingue comme on s'habitue vite à certaines choses. Et on s'en rend vraiment compte une fois que nous en sommes privé.

 

Mais, à mesure que le temps passait, nos contacts se réduisaient, et cela me rendait triste.

Je m'étais répétée qu'il ne fallait pas que je m'attache trop à lui, ne sachant rien sur ses réels sentiments envers moi. Mais je pense qu'il est trop tard. Avant que nous nous rencontrions pour la première fois, il m'avait dit qu'il avait des sex fiends. Je me doutais qu'il les voyait toujours, d'autant plus que ça faisait presque trois semaines que nous ne nous sommes pas vu.

 

Je n'avais pas eu de nouvelles de lui pendant le week-end, donc le mardi, je l'appelai avec une petite boule au ventre afin de savoir s'il était disponible pour le week-end qui arrivait.

 

                    Salut Thomas, tu vas bien ?

                    Salut ma belle, ça va et toi ?

                    Tranquillement, dis moi, tu es dispo ce week-end ?

                    Pour toi, toujours. Me répondit-il, je devinais à l'entendre qu'il souriait. Il n'en fallut pas plus pour faire accélérer les battements de mon cœur.

                    En fait, je voulais te demander un truc aussi. C'est qu'à partir de vendredi, je suis en vacances pour deux semaines et que je n'ai rien de prévu pour la première et …

                    Steph ! Me coupa t-il, bien-sûr que tu peux venir à la maison !

                    Oh … bah, c'est gentil, merci. Je n'étais pas certaine que tu acceptes, je ne veux pas non plus t'embêter, avec ton travail tout ça, et puis tu as des soirées de prévues aussi et …

                    Chut, tais-toi ! Ne dis plus rien, tu viens et puis c'est tout ! Ça fait trop longtemps qu'on s'est pas vu !

                    Ok, d'accord. Donc tu veux que je viennes quand ?

                    Dès que tu peux, je veux trop te voir !

                    Ahahah ok, alors je peux être chez toi vendredi en début d'après midi si tu veux.

                    D'accord, super ! J'ai hâte ! Des bisous ma belle !

 

C'est donc presque 3 semaines plus tard que nous pouvons enfin nous revoir.

J’appréhendais un petit peu de rester aussi longtemps avec lui, mais j'en avais aussi tellement envie.

 

Le vendredi, je devais arriver en début d'après midi, nous devions passer le reste de la journée en ville, aller manger au restaurant et nous hésitions entre finir au ciné ou rentrer directement.

Mais nos plans tombèrent à l'eau, parce que le patron de Thomas l'appela, pour un renfort à la boite ou il travail.

Il en avait encore pour un bon bon moment. Lui était grandement déçu, moi aussi, mais c'est là qu'il me vint une idée.

Tant qu'à passer plus de temps avec lui, autant aller plus loin dans nos fantasmes et innover dans nos jeux.

 

J'allais donc me garer chez lui, et retournais dans le centre ville afin de trouver un magasin dans lequel jamais je n'aurais imaginé rentrer un jour. Un Sex Shop …

 

"La suite au prochain chapitre. J'espère que ça vous à plu et que ça vous donne envie de connaître la suite.

N'hésitez pas à me faire part de votre avis, qu'il soit bon ou mauvais." Ji Seon

 

Par BoundClub
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